Diagnostic de pollution des sols : comment le réaliser ?
Le diagnostic de pollution des sols effectué dans le cadre de la norme NF X 31-620-2 lors d’une vente / acquisition d’un site (code de mission VERIF) est réalisé suivant les missions A100, A110, A120 A130 et A200.
Dans un premier temps la visite du site, mission A100, permet de procéder à un état des lieux du site. Ceci permettant d’orienter la recherche documentaire, la stratégie de contrôle des milieux et surtout de dimensionner si besoin les premières mesures de précaution et de maîtrise des risques quand elles sont nécessaires.
Les études historiques, documentaires et mémorielles regroupées dans la mission A110 ont pour but de reconstituer à travers l’histoire des pratiques industrielles et environnementales du site, d’une part les zones potentiellement polluées et d’autre part les types de polluants potentiellement présents au droit du site concerné.
Elles permettent, par ailleurs, d’identifier les restrictions ou contraintes d’usages qui pourraient être imposées aux terrains.
La mission A120 consiste en une étude de vulnérabilité des milieux. Cette étude vise à identifier les possibilités de transfert des pollutions et les usages réels des milieux concernés.
Les transferts peuvent s’effectuer par exemple par une nappe sous-jacente, par l’air atmosphérique, par les végétaux cultivés, etc.
Les usages incluent par exemple les habitations, les établissements recevant du public, les zones agricoles, etc.
Après le recueil de toutes ces informations et des contraintes (mise à jour des réseaux enterrés…), la mission A130 permettra d’élaborer un programme d’investigation adapté à la fois en terme de nombre d’analyses qu’en terme de positionnement des points de prélèvements.
La mission A200 rassemblera la méthodologie des prélèvements des sols, des investigations du terrain et les analyses des sols à la recherche d’une pollution. L’ébauche d’un schéma conceptuel et les conclusions et recommandations conclue la mission d’audit de pollution des sols.
Dans un premier temps la visite du site, mission A100, permet de procéder à un état des lieux du site. Ceci permettant d’orienter la recherche documentaire, la stratégie de contrôle des milieux et surtout de dimensionner si besoin les premières mesures de précaution et de maîtrise des risques quand elles sont nécessaires.
Les études historiques, documentaires et mémorielles regroupées dans la mission A110 ont pour but de reconstituer à travers l’histoire des pratiques industrielles et environnementales du site, d’une part les zones potentiellement polluées et d’autre part les types de polluants potentiellement présents au droit du site concerné.
Elles permettent, par ailleurs, d’identifier les restrictions ou contraintes d’usages qui pourraient être imposées aux terrains.
La mission A120 consiste en une étude de vulnérabilité des milieux. Cette étude vise à identifier les possibilités de transfert des pollutions et les usages réels des milieux concernés.
Les transferts peuvent s’effectuer par exemple par une nappe sous-jacente, par l’air atmosphérique, par les végétaux cultivés, etc.
Les usages incluent par exemple les habitations, les établissements recevant du public, les zones agricoles, etc.
Après le recueil de toutes ces informations et des contraintes (mise à jour des réseaux enterrés…), la mission A130 permettra d’élaborer un programme d’investigation adapté à la fois en terme de nombre d’analyses qu’en terme de positionnement des points de prélèvements.
La mission A200 rassemblera la méthodologie des prélèvements des sols, des investigations du terrain et les analyses des sols à la recherche d’une pollution. L’ébauche d’un schéma conceptuel et les conclusions et recommandations conclue la mission d’audit de pollution des sols.
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